Le fait de voir son passeport saisi peut susciter stress et confusion, surtout quand un rendez-vous à la préfecture se profile.De multiples interrogations émergent quant à la légalité de cette situation et aux étapes à entreprendre.Les événements récents rappellent que la police dispose de prérogatives strictement encadrées par le droit.Les personnes concernées souhaitent souvent savoir comment préserver leurs droits et obtenir un récépissé d’identité.De possibles retards ou délais administratifs ajoutent une couche d’inquiétude supplémentaire.L’expérience démontre que l’accompagnement juridique et l’information sont essentiels pour effectuer des réclamations en bonne et due forme.Reste à comprendre les recours légaux disponibles et à anticiper chaque étape avant de se déplacer en préfecture.
Passeport confisqué et procédure légale en 2025
Lorsque la police confisque un passeport, son titulaire se retrouve parfois démuni. La difficulté se révèle encore plus marquante si la personne doit honorer un rendez-vous programmé à la préfecture. Les règles en vigueur, clairement établies par l’article L. 611-2 du code de l’entrée et du séjour des étrangers en France et du droit d’asile, autorisent les forces de l’ordre à saisir un document de voyage lorsqu’un étranger n’est pas en règle. Cette mesure, à première vue radicale, vise à assurer qu’un départ éventuel du territoire puisse être effectif et conforme aux prérogatives de l’administration. En parallèle, le Conseil constitutionnel, dans une décision marquante de 1997, a veillé à ce que la retenue soit strictement proportionnée et ne limite pas les libertés fondamentales du ressortissant concerné.
En 2025, ce cadre légal demeure inchangé dans son principe. Toutefois, plusieurs affaires ont fait la une, illustrant des situations complexes où des individus, après avoir quitté subitement un bureau administratif, laissent leur passeport derrière eux. Dans un tel contexte, la police se trouve investie de la responsabilité de conserver ces documents tant que les conditions légales de restitution ne sont pas réunies. Une anecdote, rapportée par un collectif juridique, raconte l’histoire de trois ressortissantes étrangères ayant omis de récupérer leurs papiers. Les autorités ont procédé à la rétention, créant un flottement quant aux conditions de remise effective. Les intéressées ont craint de ne pas pouvoir poursuivre leur vie quotidienne ou de finaliser leurs démarches de régularisation, une fois la mesure de rétention en place.
Face à ce genre de situation, une première étape consiste à comprendre la logique de l’administration. La police doit remettre un récépissé, qui atteste que la personne a bel et bien justifié de son identité auprès des autorités. Cette procuration temporaire est censée faciliter les démarches courantes, dans la limite de sa validité. Selon la jurisprudence du Conseil d’État, le document en question devrait mentionner la date de rétention et les modalités de restitution du passeport. Dans la pratique, certains témoignages signalent des oublis ou des imprécisions, invitant ainsi les personnes concernées à faire valoir leurs droits par tous les moyens légaux.
L’enjeu d’un tel blocage se révèle encore plus criant lorsqu’un rendez-vous à la préfecture est imminent. Les démarches liées aux titres de séjour, comme celles relatives au renouvellement d’un titre de long séjour ou à la régularisation du statut, exigent souvent de présenter son passeport original. Sans ce dernier, l’usager appréhende de ne pouvoir prouver son identité ou d’obéir aux consignes d’enregistrement. Certains recourent alors à Internet, cherchant des conseils concrets sur des forums spécialisés ou sur des sites tels que Juritravail ou encore évaluent la possibilité d’un déplacement à la police-rendez-vous. Les récits d’expériences partagées en 2025 mettent en lumière une pléthore de parcours, parfois rapides, parfois laborieux.
Les réflexes essentiels résident dans la consultation d’un service compétent. Il s’agit généralement du bureau des étrangers de la préfecture ou d’associations spécialisées en droit des étrangers, capables d’orienter vers une réclamation formelle. De plus, plusieurs voies de recours existent : on pense à la saisine du tribunal administratif si les délais s’étirent sans explication, ou au dépôt d’une requête en référé pour faire valoir une atteinte grave aux libertés fondamentales. Selon les chiffres avancés par une étude récente, près de 30 % des requêtes déposées en référé-liberté aboutissent à une injonction favorable à l’intéressé, même si chaque dossier présente ses particularités.
Pour toute personne en quête de solutions, Internet regorge de ressources. Des juristes indépendants proposent des retours d’expérience, tandis que des plateformes institutionnelles diffusent des explications précises. Ainsi, une note sur la rétention du passeport détaille les tenants et aboutissants de l’article L. 611-2. Le site soudant-avocat.com publie un guide complet sur la restitution des passeports, avec un zoom sur les recours à entreprendre. Les publications ne manquent pas pour s’éclairer et calmer une inquiétude légitime. En cas de dossier plus complexe, des comparaisons internationales peuvent aider à appréhender des situations hors de l’ordinaire.
Comme point final à ce panorama légal, la confiscation d’un passeport ne doit jamais être absolue. Les autorités ont une mission de contrôle, mais elles ne peuvent méconnaître les garanties légales. En 2025, leur rôle consiste à réguler l’immigration et à faire respecter la législation, tout en veillant à ce que les personnes concernées puissent exercer leurs droits. Cette vigilance protège la crédibilité de l’État et offre un équilibre entre souveraineté et respect des libertés. Le contexte se révèle souvent délicat, mais il n’exclut pas la possibilité d’une issue favorable à qui s’informe et agit avec méthode.

Gérer un rendez-vous à la préfecture : étapes et enjeux
Un rendez-vous en préfecture représente un moment décisif pour les dossiers liés à la situation administrative d’un étranger. Qu’il s’agisse de solliciter un visa, d’obtenir un titre de séjour ou de vérifier son identité, la marge de manœuvre reste souvent étroite lorsque le passeport est retenu. L’administration demande d’ordinaire de fournir des documents originaux et conformes. Par conséquent, la confiscation d’un justificatif de voyage par la police peut perturber sévèrement le processus.
De nombreuses personnes racontent comment elles ont entrepris des démarches en ligne, comme la pré-demande via le portail ANTS, pour un passeport français ou pour un renouvellement de carte d’identité, et se sont retrouvées bloquées au dernier moment, incapables de présenter la pièce requise le jour convenu. Dans ces circonstances, chaque usager tente de défendre son dossier et se demande s’il doit repousser la date du rendez-vous ou s’y rendre muni du récépissé délivré par la police. Les avis divergent, car certaines préfectures acceptent un justificatif temporaire, tandis que d’autres peuvent exiger plus de garanties. Sur le forum Droit-finances, les débats sont intenses autour des délais et des conditions de délivrance.
Un conseil souvent évoqué consiste à prévenir les agents en charge du dossier. Par exemple, un étranger dont la situation est confuse peut envoyer une lettre recommandée, exposant que son passeport est retenu pour vérification. Cette lettre, agrémentée des prélèvements de taxes ou d’autres justificatifs, met en lumière une bonne foi et démontre la volonté de régulariser la situation. Ensuite, les services concernés ont la possibilité de répondre, d’accorder un délai supplémentaire ou de refuser la requête. Cela dépend de multiples facteurs, comme la cohérence du projet migratoire, le respect des obligations passées (notamment la présence sur le sol français sans dépassement de visa) et la gravité d’une éventuelle infraction constatée.
Malgré des divergences, il ressort qu’anticiper reste la meilleure garantie de réussite. Par exemple, un individu qui se trouve au cœur d’un renouvellement de titre Passeport Talent pourrait avoir besoin de faire valoir son parcours professionnel. Dans ce cas, l’unité en préfecture responsable de la vérification examinera les références de l’entreprise, la solidité du contrat de travail et la validité du visa initial. Des informations complémentaires se trouvent sur des portails spécialisés comme Guide Immigration, où sont abordés les différentes formes de titre de séjour, y compris le Passeport Talent et les conditions d’éligibilité.
Dans l’hypothèse où la préfecture exigerait absolument le passeport physique, une voie d’action immédiate réside dans le contact avec la police en charge de la rétention. Le but est d’obtenir clairement les modalités de restitution ou au moins un document officiel faisant foi. Sur la plateforme MaSécurité, il est désormais envisageable de solliciter un créneau Police-Rendez-vous afin de discuter de la situation. S’y présenter avec les justificatifs de séjour, une convocation formelle de la préfecture et tout autre papier pertinent facilite souvent le dialogue.
Dans certains scénarios, l’agent de police peut accepter une remise conditionnelle du passeport moyennant engagement écrit, surtout si le délai pour le rendez-vous est imminent. Une anecdote illustre le cas d’un étudiant étranger devant déposer une demande de prorogation de visa. Il a négocié la possibilité de récupérer temporairement son document pour honorer un guichet administratif. Après vérification de son statut, l’autorité policière lui a rendu son livret de voyage assorti d’instructions précises : le rapporter sous 48 heures, une fois l’entretien à la préfecture effectué. Ce type de compromis n’est pas systématique, mais il témoigne d’une certaine souplesse possible. Les exemples concrets partagés sur Alexia.fr le confirment.
Enfin, les personnes confrontées à cette situation redoutent souvent que l’administration considère la rétention du passeport comme un indice d’irrégularité accentuée. Or, cette conclusion n’est pas systématique. Les services préfectoraux distinguent généralement la simple vérification de situation d’une interdiction de séjour. Toutefois, mieux vaut préparer un dossier solide, rassemblant toute pièce prouvant la légalité du séjour et la bonne foi de l’intéressé. Ainsi, la prise de contact rapide et la transmission transparente des informations affermissent la crédibilité devant l’agent instructeur. Ce levier vaut pour tout dépôt, qu’il s’agisse d’une prolongation de visa, d’un renouvellement de carte de séjour ou même de nouvelles procédures pour la régularisation par le travail.

Les recours possibles en cas de rétention prolongée
La confiscation d’un passeport peut s’étirer, notamment quand certaines vérifications de la police s’effectuent dans des délais longs. Cette situation suscite un inconfort évident chez les ressortissants qui redoutent d’éventuelles mesures d’éloignement ou d’autre part un dépassement des délais liés à un renouvellement de titre de séjour. Pour pallier cet imbroglio, plusieurs recours existent sous différentes formes, allant de la saisine du tribunal administratif à la saisine d’instances plus spécialisées. Le pivot de ces démarches consiste à prouver que la rétention du passeport porte atteinte à des droits fondamentaux ou freine injustement le processus d’administration.
Premièrement, déposer un recours gracieux devant l’autorité compétente figure parmi les options les plus accessibles. Par exemple, un document écrit peut être envoyé au préfet et à la section juridique de la police concernée, mettant en avant les motifs de la requête : impératifs de carrière, obligations familiales urgentes, ou présence d’un rendez-vous médical crucial. Il n’est pas nécessaire de recourir immédiatement à un avocat, même si son assistance peut s’avérer déterminante pour la formulation d’arguments solides. Dans une affaire relatée sur le site MaSécurité, un ressortissant bloqué dans sa démarche de regroupement familial a réussi à obtenir un compromis, soutenu par divers justificatifs. Un courrier clair, exposant les risques encourus et la preuve de l’urgence, a fait pencher la balance en sa faveur.
Dans certains cas, le recours contentieux devant la juridiction administrative devient essentiel, surtout si l’absence de réponses de l’administration se prolonge ou si un refus catégorique est opposé. Les statistiques de 2025 montrent que les requêtes visant la restitution de documents de voyage constituent près de 15 % des contentieux liés au droit des étrangers. Cette démarche se formalise par l’envoi d’une requête au tribunal administratif compétent, en mentionnant la nature du litige, les pièces justificatives et les textes légaux invoqués. Sont alors passés en revue la proportionnalité de la retenue, l’existence d’un récépissé et l’impact concret de la confiscation.
Le référé-liberté se présente comme l’option la plus rapide quand les circonstances l’exigent. Toute personne considère cette voie dans l’hypothèse où la prolongation de la confiscation du passeport mettrait en péril ses droits fondamentaux : droit de quitter le territoire, droit de faire valoir un contrat de travail, etc. À titre d’illustration, une salariée étrangère dont le contrat de travail risque la rupture faute de titre valide, peut invoquer l’urgence. Des plateformes dédiées, telles que Guide Immigration, conseillent alors de solliciter des attestations patronales et de justifier le caractère imminent du danger encouru.
En plus des voies judiciaires, les personnes concernées cherchent parfois une médiation ou un accompagnement associatif. Plusieurs structures spécialisées en droit des étrangers fournissent une assistance pour remplir les formulaires ou relancer l’administration. On pense à des ONG régionales, souvent présentes près des grandes villes où affluent de nombreuses demandes. Au demeurant, l’important est de souligner le contexte : la confiscation d’un passeport ne saurait être définitive, et l’obtention d’une restitution temporaire demeure envisageable, sous réserve de justifications recevables.
Le témoignage d’un jeune diplômé illustre bien ces réalités. Fraîchement embauché dans une start-up, il se retrouve dans l’incapacité de justifier son statut auprès de l’employeur, dans la mesure où son passeport confisqué l’empêche d’obtenir un numéro de sécurité sociale actif. Après plusieurs échecs, il a finalement obtenu gain de cause par un référé, argumentant du préjudice imminent subi au plan financier et moral. Cette anecdote, partagée sur un fil Twitter, démontre la nécessité de recourir à des dispositifs légaux adéquats, notamment quand la négociation directe avec la police n’aboutit pas.
L’ensemble de ces recours conforte l’idée qu’il est rentable de se préparer et de documenter chaque étape. Les preuves matérielles (contrat de travail, attestation de formation, justificatif familial) et la présentation cohérente du projet migratoire exercent un poids déterminant sur la décision du juge. Rappelons aussi que la notion de « liberté fondamentale » est souple et comprend plusieurs droits : voyager, travailler, recevoir des soins, etc. Quiconque se retrouve face à une saisie prolongée doit peser l’ensemble des stratégies possibles et, le cas échéant, consulter un professionnel bien référencé, par exemple via Guide Immigration ou d’autres plateformes guidant les étrangers. Dans la majorité des cas, une action méthodique peut déboucher sur une solution viable.
Documents et conseils pratiques pour récupérer son titre de voyage
Quand un ressortissant apprend que son précieux passeport est retenu, il se retrouve souvent dans l’embarras quant aux documents à fournir pour justifier d’un besoin de restitution. Une bonne pratique consiste à compiler tout élément prouvant la nécessité de disposer promptement de ce document : convocation à un rendez-vous administratif, contrat de travail, inscription universitaire ou encore offre d’emploi. L’objectif est de démontrer à la police ou à la préfecture que l’absence du passeport peut entraîner des conséquences graves sur la vie quotidienne. Par ailleurs, prouver son identité de manière fiable nécessite de rassembler un ensemble d’autres pièces officielles (certificat de naissance, ancien visa, etc.) afin de compenser la pénurie momentanée de justificatif de voyage.
Un dossier bien étoffé inclut souvent plusieurs volets : pièces d’identité, preuves de logement, relevés bancaires, attestations d’amis ou de proches. Les autorités apprécient les dossiers structurés, ce qui réduit les malentendus et démontre un sérieux dans la démarche. Même si le récépissé fourni par l’administration autorise un minimum de circulation interne, certaines situations spécifiques exigent impérativement la présentation de l’original. Dans le cadre d’un voyage urgent, solliciter un laissez-passer consulaire auprès de l’ambassade de son pays d’origine peut représenter une alternative, bien que cette perspective engendre des complications supplémentaires, et ne vaut pas pour toute formalité.
Parfois, l’étranger craint de voir sa requête rejetée si son statut demeure ambigu. Par exemple, manquer de visa valide ou être en situation de fin de stage peut occasionner des soupçons. Sur le terrain, les retours indiquent que la plupart des préfectures s’en tiennent à une appréciation juridique stricte. S’il est avéré que le demandeur est régularisable, une issue favorable se profile, à l’image de ceux qui ont su prouver leur projet professionnel ou matrimonial sur le sol français. En revanche, si l’illégalité du séjour se confirme, la proposition de récupération du passeport prend parfois la forme d’un ordre de quitter le territoire. Pour éviter ce cauchemar, il est recommandé de consulter des guides spécialisés, tels que régulariser son statut après un visa long séjour ou encore se renseigner sur la procédure de changement de statut si un nouvel emploi se profile.
Parmi les outils pratiques pour accélérer l’examen d’un dossier, il existe la plateforme Documents indispensables préfecture. Cette ressource recense les pièces à produire et facilite la préparation des demandes de titre de séjour ou de prolongation. Par ailleurs, le site Guide Immigration aborde la question de l’autorisation de travail pendant la durée de validité d’un récépissé. Lorsque l’employeur exige la présentation d’un titre valide, l’étudiant ou le travailleur temporaire peut justifier sa bonne foi en exposant ces références officielles.
Un point important porte sur les réclamations à déposer si la confiscation se prolonge sans motif légitime. Envoyer un courrier recommandé avec accusé de réception reste une bonne pratique, permettant de dater la démarche et de prouver qu’une relance a bien été effectuée. Dans cette lettre, il est conseillé d’énoncer clairement les conséquences négatives de l’absence de passeport : impossibilité de se rendre à un rendez-vous professionnel, refus de contrat de location, compliquant gravement la vie de famille, etc. Cette argumentation concrète peut être reprise si un recours contentieux devient inévitable.
Une situation exemplaire se produit lorsque des échanges diplomatiques sont en cours. Un scientifique de haute volée, invité dans une institution partenaire, préfère voyager rapidement pour un congrès. Le passeport confisqué ralentit subitement la signature du contrat de recherche internationale. En établissant une chronologie précise et en fournissant des correspondances officielles, ce chercheur parvient à convaincre la préfecture et la police du caractère impérieux de son déplacement. Au cas où la persuasion ne suffit pas, l’intervention d’un avocat expert en droit des étrangers, tel que mentionné sur Guide Immigration, peut débloquer la situation. Chaque dossier présente sa spécificité, mais la rigueur reste un atout maître pour infléchir la position administrative.

Optimiser ses démarches et anticiper les délais en préfecture
Lorsqu’un rendez-vous ne peut être honoré faute de passeport, un recalage du calendrier devient quasi inévitable. Les délais accordés par l’administration peuvent augmenter, prolongeant l’incertitude. Pour éviter une spirale de convocations manquées, mieux vaut tirer parti de toutes les ressources disponibles. Par exemple, la plateforme Renouveler Passeport en France rattache directement l’usager aux démarches pour replacer à jour ses titres, voire pour solliciter des duplicatas en cas de pertes ou de confiscation injustifiée. Un autre acteur institutionnel, comme le consulat du pays d’origine, peut également accompagner le demandeur dans sa requête.
Cette anticipation se révèle cruciale quand on sait à quel point les files d’attente en préfecture peuvent s’allonger. Des informations publiées sur Service-public.fr mettent l’accent sur la nécessité de prendre rendez-vous à l’avance, surtout lors des pics d’affluence. Pour une simple carte nationale d’identité, certains départements de France enregistrent des délais de plusieurs semaines, voire plusieurs mois. Une astuce simple consiste à éviter les périodes de pointe et à s’informer régulièrement des plages horaires disponibles grâce au site de la préfecture ou encore via les portails dédiés aux récépissés de renouvellement.
Par ailleurs, les personnes confrontées à une situation plus délicate, comme un contrat de travail sur le point d’être signé, doivent au plus vite notifier l’employeur d’éventuels retards. Parfois, un certificat de situation peut être émis par la police pour justifier l’aspect temporaire de la confiscation. Cet acte limite les malentendus auprès des ressources humaines. L’impatience légitime de l’employeur ou du bailleur ne trouve aucun écho si l’intéressé apporte la preuve que des recours juridiques sont en cours, et qu’un nouveau passeport ou une restitution s’obtiendra sous peu.
Dans la réalité, certains cas exigent des compléments inattendus, allongeant la durée de traitement. Par exemple, un ressortissant qui demande un titre de séjour « Vie privée et familiale » doit fournir des preuves de ressources, d’hébergement, et parfois justifier de liens familiaux stables. Une fois le passeport retiré, il est plus complexe de finaliser ces pièces, surtout si chacun s’attend à une pièce d’identité officielle en cours de validité. Les conseils de plus en plus prisés visent à s’entourer d’experts et à consulter, en amont, des sites comme Titre de séjour vie privée ou le guide de naturalisation française qui indiquent les justificatifs pertinents.
Un exemple parlant concerne la candidate à la naturalisation qui doit démontrer ses cinq années de résidence stable. Sans le passeport tamponné, la compilation des dates d’entrées et de sorties devient plus complexe. Se munir de déclarations d’impôts, de factures d’électricité ou d’enregistrements bancaires peut alors pallier partiellement l’absence du passeport. Toutefois, cette solution de secours ne convient pas toujours aux critères rigoureux de l’administration. Des avocats spécialisés, listés sur Guide Immigration, peuvent opérer une médiation rapide avec la préfecture.
En fin de compte, optimiser ses démarches passe par une coordination minutieuse. Revoir régulièrement l’avancement auprès de l’unité de la police responsable de la rétention, anticiper la date d’expiration du récépissé, et vérifier la faisabilité d’obtenir un rendez-vous supplémentaire figurent parmi les réflexes indispensables. Les témoignages recueillis durant l’année 2025 soulignent qu’une action proactive réduit le risque de se retrouver en porte-à-faux face à l’administration. Les réclamations bien argumentées accélèrent parfois la procédure : joindre des preuves de l’impact négatif d’un retard fait prendre conscience aux autorités que la non-restitution du passeport peut avoir des conséquences graves. Dès lors, tout usager avisé s’emploie à anticiper, plutôt que de subir les aléas d’un système administratif parfois engorgé.
Bien des individus, déterminés à mener à terme leurs plans d’installation ou d’évolution professionnelle, réussissent en faisant preuve de persévérance. Il suffit souvent de connaître ses droits, de se prémunir d’un dossier clair et cohérent, et de solliciter les bons interlocuteurs. Un surplus de vigilance è vite se révéler salutaire pour gérer la pression liée à l’absence du document de voyage. Et dans les cas les plus extrêmes, la réglementation prévoit toujours la possibilité de faire valoir ses droits devant le juge, avec des arguments fermes et vérifiables.
Les paragraphes qui précèdent ont couvert l’essentiel des angles pratiques : la base légale, le déroulement d’un rendez-vous en préfecture, les stratégies de recours et les solutions pour défendre son identité. Les pistes concrètes existent pour ne pas rester inactif.
Afin de conserver l’élan et se placer dans la bonne direction, il s’avère profitable de discuter directement avec des experts, de se renseigner auprès des services de la police ou de l’administration, ainsi que de lire des retours d’expérience sur des plateformes fiables. Chacun peut alors évaluer la pertinence de ses réclamations et ajuster sa ligne de défense selon l’évolution du dossier. Mieux vaut ne pas hésiter à comparer plusieurs sources, afin d’affiner sa compréhension et de ne jamais renoncer avant d’avoir exploité chaque voie de droit.
Un dernier conseil réside dans la vigilance autour des irréalisations d’identité forcées ou de confusions administratives. Dès que la moindre anomalie est détectée, la démarche la plus sûre concerne l’envoi d’un courrier explicatif à la préfecture ou l’utilisation d’un canal officiel tel que Guide Immigration pour demander des éclaircissements écrits. Cette approche méthodique démontre la solvabilité et la rigueur du requérant, qualités toujours appréciées dans le contexte d’un échange administratif sensible. Une question subsiste : est-il nécessaire de refaire un nouveau titre ou d’attendre la restitution ? Tout dépend du stade de la procédure et des éléments justifiant la demande.
FAQ
1) Comment agir si la police refuse de donner un récépissé après la confiscation du passeport ?
Il est recommandé d’adresser une demande écrite rappelant les textes applicables, notamment l’article L. 611-2 du code de l’entrée et du séjour des étrangers. Si aucune réponse n’est fournie, un recours gracieux ou hiérarchique peut être engagé, éventuellement suivi d’une action devant le tribunal administratif en cas de blocage persistant.
2) Peut-on se rendre au rendez-vous en préfecture sans passeport, mais avec un récépissé de la police ?
Oui, à condition que l’administration l’accepte comme preuve. Bon nombre de préfectures tolèrent un récépissé en guise de justificatif provisoire, surtout si la durée de la confiscation du passeport est volontairement limitée. Il reste toutefois indispensable de vérifier en amont la politique pratiquée dans son département.
3) Quels sont les délais moyens pour récupérer son passeport confisqué ?
Ils varient selon la complexité du dossier et le volume de demandes en cours. Malgré tout, la loi exige que la rétention soit strictement proportionnée. En cas de dépassement notoire, un recours contentieux est envisageable pour enjoindre l’administration à restituer rapidement le document.
4) Faut-il craindre une expulsion immédiate lorsque le passeport est confisqué ?
Non, pas systématiquement. La confiscation vise souvent à s’assurer de la disponibilité du document en cas de procédure d’éloignement. Toutefois, sans titre régulier, les risques augmentent. C’est pourquoi l’accompagnement juridique et la vigilance sont essentiels.
5) Est-il possible de demander un nouveau passeport auprès du consulat de son pays d’origine ?
Oui, dans certaines situations, notamment quand la restitution tarde. Il convient cependant de se renseigner sur l’articulation possible entre ce nouveau document et la situation administrative en cours en France. Les autorités françaises peuvent exiger la mention d’un visa valide ou d’autorisations spécifiques.
Thank you!
We will contact you soon.